Conférence de presse annonce Forum du changement climatique calédonien – édition 2025

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

 

Jérémie Katidjo-Monnier, membre du gouvernement chargé de la transition écologique et du changement climatique, animera aux côtés de Catherine Ris, présidente de l’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC) et de Frédéric Atger, directeur de Météo-France, une conférence de presse :

 

Mardi 8 juillet 2025 à 11 heures

À l’Université de la Nouvelle-Calédonie (Salle du conseil)

 

Cette conférence presse aura pour objectif d’annoncer la tenue de la seconde édition du forum du changement climatique calédonien, organisée par le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie en partenariat avec l’UNC.

 

 

Rencontre avec une classe participant au au programme « classe au potager à l’océanienne

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Jérémie Katidjo-Monnier, membre du gouvernement chargé de la transition alimentaire, se rendra à l’école maternelle publique Les colibris à Dumbéa (42 rue de l’Entrée, Lotissement Poncet, Katiramona), vendredi 4 juillet à 9 heures, pour rencontrer les élèves et les encadrants d’une classe participant au programme « classe au potager à l’océanienne ».

 

Ce concept, développé par l’association Permalove culture innovation Pacifique, consiste à proposer aux enfants des activités (culture de la terre, bricolage, ateliers d’intelligence collective et émotionnelle, activités artistiques, ateliers autour de l’écologie, …) dans les potagers des écoles partenaires, des centres spécialisés ou encore des centres de vacances scolaires.

 

L’objectif étant d’initier les plus jeunes au concept de la sécurité alimentaire.

 

Clôture du projet PROTEGE : des résultats concrets pour la Nouvelle-Calédonie

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Une réunion de restitution du projet PROTEGE s’est tenue le 23 mai 2025 au siège de la CPS à Nouméa, présidée par le membre du gouvernement chargé de l’agriculture et de la pêche Adolphe Digoué, représentant de l’ordonnateur territorial, et réunissant le représentant du Bureau de l’Union européenne, des représentants du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, l’équipe projet, les partenaires techniques et financiers et les acteurs locaux engagés dans le projet.

Le projet régional océanien des territoires pour la gestion durable des écosystèmes (PROTEGE), financé par l’Union européenne à hauteur de 36 millions d’euros et mis en œuvre par la Communauté du Pacifique (CPS) et le Programme régional océanien de l’environnement (PROE), s’est officiellement achevé le 31 décembre 2024. 

PROTEGE est une initiative de coopération régionale visant à promouvoir un développement économique durable et résilient face au changement climatique dans les pays et territoires d’Outre-Mer européens du Pacifique (PTOM) : Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Wallis-et-Futuna et Pitcairn.

Objectifs du projet

PROTEGE s’articule autour de deux objectifs principaux :

  • Renforcer la durabilité, l’adaptation au changement climatique et l’autonomie des principales filières du secteur primaire ;
  • Préserver la biodiversité et les ressources naturelles renouvelables pour assurer la sécurité des services écosystémiques.

Une dynamique concrète en Nouvelle-Calédonie

  • Durant ses six années de mise en œuvre, PROTEGE a permis de renforcer les capacités locales, de mobiliser les acteurs du territoire et de mettre en place des solutions durables et adaptées au contexte calédonien. Parmi les résultats marquants :
  • Agriculture : accompagnement des agriculteurs vers des pratiques agroécologiques et création d’un réseau régional de fermes de démonstration en agroécologie, mobilisation importante des différents partenaires professionnels (provinces, organisations professionnelles, acteurs privés).
  • Eau : mise en place d’une plateforme informatique de gestion des données liées à l’hydrologie qui a pour ambition d’être étendue à la région, restauration de bassins versants de Houaïlou, de Touho et de Dumbéa, soutien à la politique de l’eau partagée.
  • Espèces envahissantes : régulation des espèces envahissantes (cerfs, cochons) dans les zones prioritaires d’accès délicat avec la collaboration des tribus et autorités coutumières, formation des 25 premiers opérateurs de régulation professionnel, formations à la régulation, la sécurité de la chasse et au piégeage dispensées sur Lifou, Maré et la Grande Terre.
  • Pêche et aquaculture : création de l’observatoire des pêches côtières, adoption d’un cadre stratégique pays par pêcheries et filières, outils de mutualisation des données et diagnostics communs.

L’ensemble de ces actions a été mené en collaboration avec des partenaires locaux — provinces, autorités coutumières, associations, experts techniques — et coordonné par les chefs de file thématiques pour la Nouvelle-Calédonie (la direction des Affaires vétérinaires, alimentaires et rurales, la Chambre d’agriculture et de la pêche, l’ADECAL Technopole, et l’Agence néo-calédonienne pour la biodiversité).

Constitution officielle du groupe de travail dédié au déménagement d’Air Calédonie vers La Tontouta

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Suite au communiqué de presse en date du 3 juin 2025, qui annonçait la mise en place d’un groupe de travail dédié au projet de relocalisation des opérations d’Air Calédonie de Magenta vers La Tontouta, cette démarche s’inscrit dans un contexte d’urgence opérationnelle et économique. Elle fait suite aux échanges tenus au Congrès de la Nouvelle-Calédonie le 28 mai, au cours desquels la situation critique de la compagnie et la nécessité d’une transformation structurelle ont été clairement exposées.
Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie annonce aujourd’hui la constitution officielle de ce groupe de travail. Composé de représentants des institutions, des directions des entreprises, des partenaires sociaux et d’experts techniques, ce groupe aura pour mission d’évaluer collectivement les conditions de réalisation du projet, d’en identifier les impacts et d’en définir les scénarios de mise en œuvre.
Ce groupe de travail sera co-animé par la direction de l’Aviation civile et un prestataire, qui assureront la coordination générale du projet, en lien avec l’ensemble des parties prenantes concernées.
Ce groupe de travail poursuivra plusieurs objectifs :

  • favoriser une approche partagée du projet entre toutes les parties prenantes ;
  •  identifier les conditions nécessaires à la réussite du transfert d’activité ;
  • évaluer les impacts techniques, sociaux, économiques et environnementaux ;
  • proposer un cadre de mise en œuvre progressif, cohérent et réaliste.

Un comité de pilotage (COPIL) sera également désigné, afin de regrouper les interlocuteurs décisionnaires et d’assurer le suivi stratégique et politique du projet, dans le respect des équilibres institutionnels.
Une attention particulière sera portée à la communication autour du projet. Un effort constant de transparence et d’information accompagnera les différentes phases clés de la démarche, afin de tenir informés l’ensemble des parties prenantes, en interne comme en externe, et notamment la population et les autorités coutumières. 
Les premières réunions seront engagées dans les prochains jours, avec pour ambition de dégager rapidement des pistes d’actions claires pour une mise en œuvre avant la fin de l’année 2025.

Avis aux usagers : modification des modalités de paiement à la DITTT

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Le gouvernement, via sa direction des Infrastructures, de la topographie et des transports terrestres (DITTT), informe les usagers qu’en raison d’une rupture de stock de timbres fiscaux, à compter du mardi 1er juillet 2025, le paiement des droits s’effectuera uniquement :

●       par carte bancaire ou par espèces directement au guichet ;

●       ou via des services en ligne, selon les cas.

Le gouvernement remercie les usagers de leur compréhension et les invite à anticiper leurs démarches en conséquence.

Pour toute information complémentaire, consulter le site internet de la DITTT : https://dittt.gouv.nc/

Ou contacter la DITTT par mail aux adresses suivantes :

1,2 milliard de francs pour le fonds de co-investissement « Territoires d’Innovation Nouvelle-Calédonie »

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Le président du gouvernement Alcide Ponga et les membres du gouvernement Jérémie Katidjo Monnier, Petelo Sao et Samuel Hnepeune, ont annoncé jeudi 26 juin, le lancement du fonds de co-investissement « Territoire d’Innovation Nouvelle-Calédonie » entre la Banque des territoires et Invest In Pacific. Doté de 1,2 milliard de francs, ce fonds permettra d’accompagner le développement des jeunes entreprises calédoniennes innovantes, qui mettent au centre de leur modèle économique la valorisation de la biodiversité locale.

La Nouvelle-Calédonie reconnue pour son potentiel d’innovation

Depuis 2019, la Nouvelle-Calédonie a été labellisée « Territoire d’innovation » (la seule en outre-mer). Cette action du programme national France 2030 a pour ambition d’accompagner des territoires exemplaires dans la mise en œuvre de modèles de développement durables, innovants, réplicables et à fort impact.

À ce titre, il a obtenu une enveloppe de 5 980 742 euros (plus de 700 millions de francs) de subventions, destinée à accompagner la transformation du territoire par l’innovation, en s’appuyant sur la richesse et la préservation de sa biodiversité.

Cette somme a déjà permis de financer une vingtaine d’entreprises et de projets pilotes dans des domaines variés tels que la transition énergétique, la valorisation du capital naturel, la technologie au service de la préservation environnementale, ou encore l’adaptation aux effets du changement climatique.

Les crédits encore disponibles sur cette enveloppe feront l’objet d’un nouvel appel à manifestation d’intérêt en 2025, afin d’identifier et d’accompagner de nouveaux projets innovants en phase d’amorçage.

Un fonds de co-investissement pour accompagner les entreprises

En complément de cette enveloppe, un fonds de co-investissement de 10 millions d’euros (environ 1,2 milliard de francs) est créé. Il comprend :

  • 5 millions d’euros apportés par la Banque des Territoires pour le compte de l’État, dans le cadre du programme France 2030 ;
  • 5 millions d’euros mobilisés via de l’investissement privé local, grâce à la plateforme Invest In Pacific.

Ce fonds est destiné à accompagner en fonds propres les entreprises innovantes calédoniennes œuvrant notamment dans les secteurs de la BlueTech, de la GreenTech ou de la BioTech.

« Le lancement de ce fonds est l’aboutissement de plusieurs années de négociations visant à mettre en place un partenariat public-privé, en identifiant des partenaires privés capables de nous accompagner durablement dans ce programme, a indiqué Petelo Sao, membre du gouvernement chargé de l’innovation. Cela prouve que la Nouvelle-Calédonie est capable d’être un leader dans le domaine de l’innovation et le gouvernement en est pleinement conscient puisque nous venons d’adopter la stratégie pays de l’innovation, qui nous permettra de faire de ce secteur un réel levier de développement.

 

 

La gouvernance du fonds repose sur une coopération étroite entre :

  • le gouvernement, garant de l’alignement des projets avec les objectifs politiques et environnementaux du territoire ;
  • la Banque des territoires, opérateur de l’État ;
  • Invest In Pacific, partenaire technique en charge de l’identification, de l’analyse et de la structuration des projets.

« Grâce à ce partenariat nous allons pouvoir lever des fonds publics et privés pour accompagner des projets en lien avec une économie, plus résiliente, plus verte, plus bleue et nous espérons de plus mettre en avant le savoir-faire calédonien dans ces domaines, a précisé Jérémie Katidjo Monnier, membre du gouvernement chargé de la transition écologique, du développement durable, de la biodiversité et de la gestion et de la valorisation du Parc naturel de la mer de Corail. Notre objectif sera désormais de trouver des projets qui répondent, à la fois à des critères financiers de sécurité et de sérieux, mais aussi aux exigences des politiques publiques de la Nouvelle-Calédonie en terme d’innovation, de protection de la biodiversité, ou même d’autonomie alimentaire ».

Des prix modérés pour plus d’une centaine de produits de première nécessité ou de consommation courante

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Christopher Gygès, membre du gouvernement chargé de l’économie, a signé, avec les représentants des industries locales de transformation, de l’importation, de la grande distribution et des petits commerces, un accord interprofessionnel afin de modérer les prix de plus d’une centaine de produits de première nécessité ou de grande consommation. L’objectif : redonner du pouvoir d’achat aux Calédoniens et soutenir la consommation des ménages.

La crise sans précédent qui touche la Nouvelle-Calédonie depuis les événements de mai 2024 a fortement affecté le pouvoir d’achat des consommateurs calédoniens et notamment celui des ménages les plus modestes. À cela se sont ajoutées de nombreuses pertes d’emplois qui ont généré ou accentué certaines situations de précarité.

Afin de redonner du pouvoir à l’ensemble des Calédoniens et ainsi soutenir la consommation des ménages, un des leviers les plus importants de la croissance économique, le gouvernement s’est engagé au travers de l’accord-cadre signé le 12 mai 2025, à instaurer un nouvel accord interprofessionnel de modération des prix en 2025.

Une démarche volontariste

Les représentants des industries locales de transformation, de l’importation, de la grande distribution et des petits commerces, ont ainsi répondu à la demande du gouvernement en s’engageant au travers d’un accord interprofessionnel.

Cette démarche volontariste prévoit de fixer des coefficients de marge maximums ou des prix de vente maximums aux consommateurs pour une liste de produits de consommation courante ou de première nécessité (liste disponible ci-dessous), à savoir :

  • 120 produits pour les enseignes dont la surface commerciale est supérieure ou égale à 2 500 m² ;
  • 70 produits pour les enseignes dont la surface commerciale est comprise entre 500 m² et 2 499 m² ;
  • 30 produits pour les enseignes dont la surface commerciale est inférieure à 500 m² (hors groupes et réseaux).

« Il s’agit d’un effort majeur de la part des représentants des importateurs, de la distribution, des commerçants et des industriels, a indiqué Christopher Gygès. Ces efforts ne sont pas consentis sur des produits choisis au hasard, mais sur les produits les plus consommés par les Calédoniens ».

Des engagements à suivre

Avec cet accord, les fournisseurs (industriels locaux et importateurs / grossistes) s’engagent à diminuer les prix de vente des produits listés à leurs clients (grandes et moyennes surfaces et commerces à dominante alimentaire y compris les stations-service).

L’ensemble des acteurs concernés s’engagent également à répercuter « au franc le franc » les diminutions de prix de revient des produits concernés par l’accord sur leurs prix de vente, notamment les diminutions ou exonérations de droits et taxes à l’importation.

Ils doivent de plus assurer aux consommateurs la disponibilité des produits listés par l’accord. En cas de rupture de stock, les fournisseurs et les distributeurs devront proposer un produit équivalent.

L’application de l’accord sera vérifiée par la direction des Affaires économiques (DAE) de la Nouvelle-Calédonie.

« Cet accord est complémentaire des mesures que l’on envisage pour la baisse des droits de douanes et des taxes sur les produits de première nécessité, a ajouté le membre du gouvernement. En parallèle, le gouvernement continue également à travailler sur le retour à l’emploi des Calédoniens, pour leur permettre de pouvoir consommer et de s’en sortir à la fin du mois. »

 

Les signataires de l’accord

  • Le syndicat des importateurs et distributeur de Nouvelle-Calédonie (SIDNC) ;
  • Le syndicat des commerçants de Nouvelle-Calédonie ;
  • La fédération des entreprises et industries de Nouvelle-Calédonie (FEINC) ;
  • Le groupe SCIE Distribution ;
  • Le groupement professionnel des gérants de stations-service de Nouvelle-Calédonie (GPGSSNC) ;
  • Le groupe Carrefour Kenu-in.

Lancement du fonds de co-investissement « Territoires d’Innovation Nouvelle-Calédonie », doté de 10 M€

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie annonce le lancement du fonds de co-investissement Territoire d’Innovation Nouvelle-Calédonie entre la Banque des Territoires et Invest In Pacific, la plateforme d’investissement participatif spécialisée dans les Outremers.

Doté de 10 M€, ce fonds de co-investissement a pour objectif d’accompagner le développement des jeunes entreprises innovantes de la Nouvelle-Calédonie qui mettent au centre de leur modèle économique la valorisation de la biodiversité calédonienne.

 

La mise en place de ce fonds sera matérialisée par la signature d’une convention de coopération ce jeudi 26 juin à 14 heures en salle des délibérations du gouvernement (Ex CHT Gaston-Bourret) par l’ensemble des acteurs concernés : un représentant de l’État, Alcide Ponga, président du gouvernement, Jérémie Katidjo-Monnier – Pétélo Sao et Samuel Hnepeune, membres du gouvernement respectivement chargés de la biodiversité, de l’innovation technologique, de la valorisation des ressources naturelles, Vincent Boursier pour la Banque des Territoires et Nicolas Laurent pour Invest In Pacific.

 

Signature accord interprofessionnel de modération des prix en 2025

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

La Nouvelle-Calédonie connaît une crise économique sans précédent, notamment suite aux événements de mai 2024.
Afin de redonner du pouvoir d’achat aux Calédoniens et de soutenir la consommation des ménages, un des principaux leviers de la croissance économique, le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie s’est engagé par le biais de l’accord cadre « Conférence fiscale et sociale », signé le 12 mai dernier, à instaurer un nouvel accord interprofessionnel de modération des prix en 2025.

Cet accord sera signé ce jeudi 26 juin 2025 à 10h30 en salle des délibérations (EX CHT Gaston-Bourret) par Christopher Gygès, membre du gouvernement chargé de l’économie, et les représentants des industries locales de transformation, de l’importation, de la grande distribution et des petits commerces (SID NC – GPGSSNC – SCNC – les groupes SCIE & Carrefour Kenu In – FEINC).

Semaine nationale de l’identification du 16 au 22 juin

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

La Semaine nationale de l’Identification des chiens et des chats est de retour du 16 au 22 juin 2025. Cet événement permet de rappeler au grand public les enjeux majeurs liés à l’identification. Cette édition met en lumière le rôle essentiel de l’identification et constitue aussi un moment clé pour informer, accompagner et inciter les propriétaires à faire identifier leurs animaux, un geste qui se veut à la fois utile et responsable.

Pourquoi identifier son animal ?

L’identification est cruciale pour les chiens et les chats, car elle constitue le seul lien officiel entre un animal et son propriétaire et elle suivra l’animal tout au long de sa vie. Elle permet non seulement de retrouver plus facilement un animal perdu, mais joue également un rôle dans la prévention du vol et des trafics d’animaux. Pour rappel, l’identification sera bientôt obligatoire en Nouvelle-Calédonie.

Comment s’engager durant cette semaine ?

Que vous soyez un particulier ou un professionnel, chacun peut agir pour promouvoir l’identification des chiens et des chats. Voici comment contribuer à la sensibilisation autour de vous :

Pour les particuliers

  • Parlez-en autour de vous ;
  • Partagez nos publications sur vos réseaux sociaux ;
  • Faites identifier votre animal s’il ne l’est pas déjà;
  • Parlez-en avec votre vétérinaire.

Pour les professionnels du secteur animalier :

  • Parlez-en à vos clients ;
  • Affichez les affiches de la campagne dans vos établissements ;
  • Relayez nos publications sur vos réseaux ou sur vos sites internet. 

 

Chaque geste et l’implication de tous les acteurs concernés comptent pour faire de cette semaine un moment fort de mobilisation en faveur du bien-être animal.

Pour le protéger, faites-le identifier ! 

Pour plus d’informations, consulter la FAQ ci-dessous.