Sécurité des consommateurs : rappel de toutes les tisanes « TAWON / TAWON LIAR »

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie alerte la population du rappel immédiat de tous les produits de la marque TAWON et TAWON LIAR,(fabriqués par PT. MAJU JAYA BERASA Indonesia), vendus sous forme de tisane, toutes dates de péremption et tous numéros de lot confondus.

 

Présentation : Boîte de 20 sachets de 9 g, conservation ambiante.

 

Points de vente connus :

Stone Fish (Faubourg-Blanchot, Nouméa)

Niaouli Import (Ducos, Nouméa).

D’autres points de vente peuvent être concernés.

 

Pourquoi ce rappel ?
Des analyses réalisées localement ont mis en évidence la présence de substances pharmacologiques actives, notamment du Tramadol (antalgique) et des substances  anti-inflammatoires, non déclarées sur l’étiquetage.

 

Quels dangers ?
La consommation de ces produits expose à une prise de médicaments à l’insu du consommateur avec des risques:

  • effets indésirables et surdosage ;
  • interactions dangereuses avec des traitements en cours ;
  • contre-indications pour certaines personnes (ex. femmes enceintes, personnes âgées, atteintes de maladies chroniques, enfants etc.).

 

Conduite à tenir :

  • Arrêtez immédiatement la consommation de ces produits.
  • Rapportez le produit à la direction des Affaires sanitaires et sociales aux heures ouvrables :

● DASS NC -7 avenue Paul Doumer, Nouméa (ancien CHT Gaston Bourret)

● De 7h30 à 11h30 et 12h15 à 16h

● si vous n’êtes pas sur Nouméa, contactez le 24 37 18 pour être orienté(e).

  • En cas d’effet inattendu après consommation, consultez votre médecin en signalant la prise de « tisane TAWON ».
  • Informez votre entourage: si le produit a été offert, prêté ou revendu, faites circuler l’information.

 

Première détection du scarabée rhinocéros des cocotiers à Lifou

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Première détection du scarabée rhinocéros des cocotiers à Lifou

Malgré la surveillance des points d’entrée et les restrictions mises sur les produits à risque à destination des îles Loyauté, la DAVAR/SIVAP a été alertée, le 1er octobre, par l’association Arbofruits de la découverte d’un spécimen d’Oryctes rhinoceros à Lifou.

L’identification a été confirmée par le laboratoire d’entomologie appliquée de l’institut agronomique néo-calédonien (IAC).

Le spécimen a été intercepté dans l’un des pièges installés dans le cadre du dispositif de surveillance du ravageur déployé sur l’île, situé dans la tribu de Mou du district de Lossi.

Suite à cette détection, les différents acteurs mettent tout en œuvre pour une réponse rapide ayant pour objectif de contenir le ravageur dans la zone en visant son éradication

Dans l’immédiat, des agents de la province des îles Loyauté, d’Arbofruits et du SIVAP sont mobilisés sur le terrain pour, d’une part, effectuer des prospections à la recherche de potentiels sites de nidification, d’arbres symptomatiques et d’autre part, intensifier le piégeage autour du point de détection.

En parallèle, l’ensemble des partenaires (représentants de la Nouvelle-Calédonie, des provinces, des organismes de recherche, de la Chambre d’agriculture et de la pêche, d’Arbofruits, de l’Association néo-calédonienne de biodiversité et de l’Agence rurale) se réuniront rapidement afin de pouvoir affiner et coordonner un plan d’action destiné  à éradiquer le ravageur et essayer de déterminer l’origine de cette introduction. Un arrêté de lutte est également en cours de rédaction afin d’imposer certaines mesures de biosécurité sur la zone déclarée infestée.

Pour rappel, le rhinocéros du cocotier est un scarabée qui s’attaque aux cocotiers, mais également à plusieurs espèces de palmiers et fait de nombreux dégâts, pouvant causer la mort des arbres suite à des attaques répétées.

Il est originaire d’Asie du Sud-Est et présent dans plusieurs pays du Pacifique tels que Wallis et Futuna, Fidji, Samoa, Vanuatu, Guam, Hawaï. Malheureusement, le biotype Guam, présent en Nouvelle-Calédonie, est le plus résistant.

En Nouvelle-Calédonie, les premiers spécimens ont été découverts à Tontouta, en septembre 2019. Les mesures de lutte, mises en place depuis lors, n’ont pas permis d’éradiquer ce ravageur. La Grande-Terre est considérée comme infestée et jusqu’à présent les îles étaient considérées comme indemnes. Afin de les préserver, une réglementation a été adoptée en 2023. Elle contient notamment un certain nombre de restrictions et d’interdiction pour l’envoi de végétaux, terreau et compost vers les îles. Elle permet également la mise sous surveillance de zones dites sensibles comme les zones portuaires, aéroportuaires et les îles.

La détection du spécimen à Lifou intervient dans le  cadre de cette surveillance renforcée et a déclenché la mise en œuvre d’une réponse rapide pour éradiquer le ravageur et permettre  à Lifou de retrouver son statut indemne.

Tous les éléments relatifs au rhinocéros des cocotiers sont consultables sur cette page.

Une « cellule feux de forêts » à la DSCGR pour une meilleure réponse opérationnelle

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Depuis le 1er octobre 2025, la direction de la Sécurité civile et de la gestion des risques (DSGR) a activé une cellule « feux de forêt » au sein du centre opérationnel de gestion de crise (COG) du gouvernement. Son objectif : répondre plus efficacement aux besoins sur le terrain en cas d’incendie et mieux coordonner les moyens déployés.

Installée au sein du COG, la toute nouvelle cellule « feux de forêt » est composée d’agents permanents et de pompiers volontaires. Elle a pour missions de :

  • réceptionner les demandes de renfort des pompiers des communes ;
  • coordonner les moyens aériens et terrestres pour lutter contre les incendies ;
  • assurer la coordination des secours en cas de déclenchement du plan ORSEC de niveau 2 ;
  • réaliser le suivi statistique des feux.

« Nous armons cette cellule à partir du 1er octobre en préparation de la saison estivale. En Nouvelle-Calédonie, cette saison est malheureusement marquée par de nombreux feux de forêt, a indiqué le commandant Gwenval Cambon, directeur par intérim de la DSCGR. Elle nous permettra d’être plus réactifs et plus efficaces afin de limiter les conséquences des feux, qui peuvent être désastreuses pour les personnes, les habitations et l’environnement ».

 

Des technologies de pointe pour une réponse immédiate

La cellule « feux de forêts » dispose d’une série d’outils de pointe afin de faciliter le suivi des feux et la coordination des opérations. Ils permettent aux opérateurs :

  • de connaître en temps réels les moyens et les acteurs disponibles sur l’ensemble du territoire, ou encore le nombre d’interventions réalisées chaque jour ainsi que leur typologie ;
  • de positionner les feux en temps réel et de suivre leur évolution ;
  • d’être au courant des conditions climatiques.

« Ces outils sont indispensables pour prendre les bonnes décisions, a expliqué le lieutenant Philippe Buama, responsable des opérations liées aux feux de forêts à la DSCGR. Ces technologies nous permettent d’affiner au mieux notre réponse et d’apporter un soutien efficace aux collègues sur le terrain ».

 

Des moyens répartis sur l’ensemble de la Nouvelle-Calédonie

La cellule « feux de forêts » est déclenché lorsqu’elle reçoit un appel venant d’un des centre de secours communaux.

« Lorsqu’un feu nous est déclaré, nous évaluons la situation avec les personnes sur place grâce à leurs retours et aux photos qu’ils nous font parvenir. Si nécessaire, nous engageons les moyens de la Sécurité civile prépositionnés dans le Sud et dans le Nord, a précisé le lieutenant Philippe Buama. Il s’agit de moyens humains, mais aussi de véhicules, de deux hélicoptères bombardiers d’eau et depuis peu, de drones ».

Enquête agricole 2025 : une nouvelle photographie de l’agriculture calédonienne

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Douze ans après le dernier recensement général de l’agriculture (2012), l’agriculture calédonienne a profondément évolué. Pour disposer d’une image précise et actualisée du secteur, le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie lance une nouvelle enquête agricole en cette fin d’année 2025.

Cette enquête, pilotée par la direction des Affaires vétérinaires, alimentaires et rurales (DAVAR) en coordination avec les provinces, la chambre d’agriculture et de la pêche de Nouvelle-Calédonie (CAP-NC) et l’agence rurale, sera menée auprès d’un échantillon représentatif d’exploitations inscrites au registre de la CAP-NC.

Contrairement au recensement général exhaustif de 2012, l’enquête agricole 2025 adopte une approche innovante et ciblée. Près de 1 500 exploitations seront interrogées sur les 3 200 enregistrées au registre de la CAP-NC. Les informations recueillies concerneront notamment les surfaces, les cultures, les cheptels, les équipements, la main d’œuvre, etc.

Issus des différentes structures partenaires, les enquêteurs se rendront sur le terrain à compter du mois d’octobre.

Une enquête essentielle

Par une meilleure connaissance du monde agricole, l’enquête agricole 2025 est un outil stratégique pour :

  • Mettre à jour les données agricoles par commune, entité territoriale et province ;
  • Aider à la décision publique : cibler les aides, mesurer les impacts, ajuster les politiques agricoles ;
  • Constituer une base de données fiable pour les études futures et le suivi de l’évolution du secteur ;
  • Répondre aux besoins d’information des professionnels.

En y participant, les exploitants contribuent à mieux faire connaître les réalités du terrain et à préparer l’avenir de leur filière.

Une couverture de tout le territoire

Même si l’enquête n’est pas exhaustive, elle couvrira toutes les zones de la Nouvelle-Calédonie et concernera aussi bien :

  • de grandes exploitations marchandes ;
  • que de petites unités non marchandes situées en tribu ou en zone périurbaine.

Seule condition : être inscrit au registre de l’agriculture et de la pêche de la CAP-NC.

Une confidentialité garantie

Comme pour toutes les enquêtes officielles, les informations recueillies sont protégées par le règlement général sur la protection des données (RGPD) et le secret statistique. Aucune donnée individuelle ne sera divulguée sans l’accord écrit des personnes enquêtées.

Calendrier des résultats

  • Avril 2026 : publication d’un aperçu général des résultats ;
  • Septembre 2026 : analyses thématiques détaillées ;
  • Décembre 2026 : publication du rapport final complet.

Mise en place d’une cellule dédiée à la gestion des feux de forêt

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

À compter du 1er octobre 2025, le gouvernement via sa direction de la Sécurité civile et de la gestion des risques (DSCGR) met en place une cellule spécialisée dans la lutte contre les feux de forêt, au sein de son centre opérationnel de gestion de crise (COG).

 

Cette cellule aura pour missions de :

·         recevoir et traiter les demandes de renfort formulées par les communes ;

·         coordonner les moyens aériens et terrestres engagés contre les incendies ;

·         organiser la gestion des secours en cas de déclenchement du plan ORSEC ;

·         assurer le suivi et l’analyse statistique des feux.

 

La cellule fonctionnera en continu grâce à une équipe composée d’agents permanents et de sapeurs-pompiers volontaires.

 

Nous vous invitons à découvrir cette nouvelle organisation lors d’une présentation à la presse, le :

 Jeudi 2 octobre à 9 heures
 Entrée de l’ancien CHT Gaston-Bourret

Mise en garde contre une escroquerie en ligne visant le président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie alerte la population au sujet d’une vidéo trompeuse  diffusée sur Facebook. Comme en juillet 2025, cette vidéo met en scène, de manière frauduleuse, le président du gouvernement, Alcide Ponga, semblant promouvoir un prétendu « programme QAI destiné à augmenter ses revenus ».

Cette vidéo relève clairement d’une tentative d’escroquerie en ligne. L’image du président a été utilisée sans autorisation et sa voix reproduite par des technologies d’intelligence artificielle à des fins malveillantes. Il s’agit d’une manipulation visant à tromper les internautes et à obtenir d’eux des informations personnelles ou financières.

Le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie dénonce fermement cette usurpation d’identité et tient à rassurer les citoyens : aucun programme de ce type n’a été lancé ni annoncé par l’institution.

Nous appelons chacun à faire preuve de vigilance et à ne pas relayer ni cliquer sur des liens suspects.

Pour rappel, toute information officielle est diffusée exclusivement par l’intermédiaire de ses canaux institutionnels :

  • le site internet officiel : www.gouv.nc ;
  • les comptes officiels sur Facebook, Linkedin et X ;
  •  les communiqués de presse transmis aux médias ;
  • ou tout autre support validé par le gouvernement.

En cas de doute, nous invitons la population à signaler immédiatement la publication frauduleuse àvla plateforme concernée et à ne jamais fournir d’informations personnelles en ligne sans vérification préalable. 

Le président du gouvernement se réserve par ailleurs le droit d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs de cette fraude.

Levée du dispositif ORSEC feux de forêt de niveau 2 – Communes de Sarraméa, Canala et La Foa

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

L’important feu de forêt survenu le 21 septembre 2025, sur la commune de Sarraméa, au lieu-dit Plateau de Dogny, est désormais déclaré maîtrisé, grâce à la mobilisation et à l’efficacité des moyens déployés sur le terrain.

En conséquence, le dispositif ORSEC Feux de Forêt de niveau 2, mis en place sur les communes de Sarraméa, Canala et La Foa, est levé ce jour à 17 heures.

Le bilan définitif fait état d’aucune victime. La surface parcourue par les flammes est estimée à 60 hectares de végétation.

Séminaire de travail avec les communes

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Dans le cadre du dialogue permanent entre le gouvernement et les communes, un séminaire de travail se tiendra lundi 22 septembre 2025, de 8 heures à 12 heures, dans la commune de La Foa (Cinéma Jean-Pierre Jeunet).

 

Initié par Alcide Ponga, président du gouvernement, cet espace de travail a pour objectif d’écouter, partager et apporter des réponses concrètes aux préoccupations des communes, institution de proximité auprès des citoyens.

 

Les thématiques qui seront abordées au cours de la matinée concernent :

–        La jeunesse ;

–        La santé ;

–        La sécurité, en lien avec le haut-commissariat ;

–        Le financement des collectivités.

 

Cette réunion de travail se fera en présence du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie Jacques Billant, et des membres du gouvernement.

Fin de chantier pour le projet de rénovation du lycée Jules-Garnier

Source: Gouvernement de la Nouvelle-Caledonie

Le membre du gouvernement chargé de la construction Petelo Sao et le haut-commissaire de la République Jacques Billant, se sont rendus ce mardi 16 septembre au lycée Jules-Garnier, à l’occasion de la réception des travaux de rénovation de l’établissement. Ils étaient accompagnés du vice-recteur Didier Vin-Datiche, du cabinet d’Isabelle Champmoreau, membre du gouvernement chargée de l’enseignement et des équipes de la direction des Achats, du patrimoine et des moyens de la Nouvelle-Calédonie (DAPM), ainsi que de la Société d’équipement de la Nouvelle-Calédonie (SECAL).

Lycée Jules-Garnier, futur pôle de formation scientifique et technologique

Créé il y a 57 ans, le lycée polyvalent Jules-Garnier est un établissement d’enseignement général, technique et professionnel qui accueille chaque année plus de 1 600 élèves. Il fait l’objet depuis quelques années de travaux de rénovations, d’améliorations de ses bâtiments et de redistribution de ses enseignements, au fil de l’évolution de la carte scolaire

Il dispense des formations générales, techniques et professionnelles de la classe de seconde jusqu’aux classes de l’enseignement supérieur STS (section technicien supérieur) et CPGE (classes préparatoires aux grandes écoles), à dominante technologique. Le lycée offre également un hébergement en internat et un service de restauration.

Implanté sur un domaine de 19 hectares, à proximité du pôle scientifique de l’Université du de la Nouvelle-Calédonie (UNC), il a vocation à être le pôle de formation scientifique et technologique de la Nouvelle-Calédonie.

« Des réflexions ont été lancées sur le développement de Nouville. L’objectif est de faire de cette zone un haut lieu de la formation initiale et professionnelle. Nous y avons d’importants chantiers à venir. Celui de Jules-Garnier est terminé et témoigne des actions que nous avons à cœur de mener à terme pour notre jeunesse », a indiqué le membre du gouvernement Petelo Sao.

Des travaux conséquents

Le projet de « réorganisation partielle des enseignements existants et de la vie scolaire » est centré sur trois axes forts :

  • recentrer les pôles de formation : l’enseignement général, technologique, professionnel et l’enseignement supérieur ;
  • regrouper les pôles disciplinaires : pôle scientifique, pôles lettres, maths & sciences éco, pôle langues, STI2D, STD2A et STMG ;
  • améliorer la gestion éducative : déplacer la vie scolaire et créer des espaces dédiés aux élèves (Maison des lycéens), séparer physiquement l’internat de l’externat, organiser les flux internes de l’établissement ;

Tous les bâtiments et locaux (F, G, H, I, J, T, U et L) ont bénéficié des rénovations suivantes :

  • reprise des peintures et des surfaces intérieures ;
  • ravalement partiel des bâtiments existants et peinture totale des bâtiments à réaliser ;
  • mise en œuvre de protection des fenêtres des locaux au rez-de-chaussée et/ou accessibles ;
  • reprise totale et/ou complète des installations électriques suivant les bâtiments et locaux ;
  • reprise des revêtements de sols au droit des modifications de cloisonnement intérieures.

 

 

Un financement partagé entre la Nouvelle-Calédonie et l’État

Ces travaux de rénovation, qui ont débuté en juin 2023, sont inscrits au contrat de développement État-Nouvelle-Calédonie 2017-2022. Le budget global alloué pour cette opération est de 705 millions de francs, financé à parts égales par les deux collectivités.

« L’État est présent sur ce chantier, aux côtés de la Nouvelle-Calédonie, car il s’agit d’un lycée d’importance qui propose des formations stratégiques et possède un rayonnement régional avec des élèves venant de Wallis-et-Futuna et du Vanuatu, a précisé le haut-commissaire Jacques Billant. Il fait partie des dossiers que le ministre des Outre-mer a souhaité accompagner au-delà du temps de clôture des opérations, puisqu’il était inscrit au contrat de développement 2017-2023. L’accompagnement de notre jeunesse reste une priorité ».

La maitrise d’ouvrage de ces travaux a été assurée par la Nouvelle-Calédonie, avec une délégation attribuée à la SECAL.